la faute à pas de chance

Aller à Singapour en juin, quand il y a beaucoup de boulot, et le lendemain du déménagement ne m’enchantait pas. Outre la formation, une seule chose me poussait dans l’avion : j’avais l’adresse de kinokunya. Pas le kinokuniya de KL, non. L’immense de Singapour, celui avec un grand rayon FRANCAIS.

Nous n’allons jamais à Singapour. La dernière fois, c’était il y a plus de 3 ans et demi, pour aller voir le cirque du soleil. La fois d’avant, c’était il y a 7 ans, j’étais enceinte d’Ariane et en stage. Comparé à certaines familles d’ici qui y vont une fois par mois pour un WE shopping ou Sentosa, c’est plus que raisonnable.

Bref, je voulais faire le plein de bouquin en français. Pour moi, pour les enfants, voire pour Ramsès même si c’est dur de trouver des bouquins pour lui : je ne connais rien à ses centres d’intérêt, donc pour choisir un bon bouquin, c’est foireux.

Nous finissons de bosser vers 17h, et filons donc chez Kinokuniya. Enfin, pas vraiment chez Kinokuniya, plutôt devant. Parce que le rideau de fer est fermé. Pourtant, dedans, on s’agite. Fermeture annuelle pour inventaire !

Alors histoire de calmer un peu mes frustrations, je suis allée chez légo. Pas de ma faute si le magasin légo est juste au-dessus et qu’ils y vendent les légo pirates dont Sacha rêve pour son anniversaire dans deux semaines et qu’on ne trouve plus à KL!

Par contre, je n’ai pas idée de comment je vais les rapporter. Parce que ça ne pèse rien, contrairement aux bouquins, mais qu’est-ce que c’est volumineux! Ça ne tiendra pas dans ma valise.

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